Histoire d'un crime d'honneur: Sandra P. et sa fille

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Sandra P. et sa fille
1984, 2017
Poignardé/décapité: 12. Avril 2018
Domicile: Hamburg
Origine: Victime : Allemagne ; Auteur : Niger
Enfants: 5, dont 1 fille (1 an dans l'acte), qui est aussi tuée.
Auteur: son ex-petit ami Mourtala Madou (33 ans)
Sandra vient du Mecklenburg-Vorpommern et vit à Hambourg depuis environ 4 ans. Elle a 5 enfants de 4 pères. Sa plus jeune fille, âgée d'un an, a été conçue par un réfugié d'Afrique de l'Ouest du Niger. Il est venu en Allemagne en avril 2013 et a vécu dans le groupe Lampedusa, qui a été pris en charge par l'église St. Pauli à Hambourg. L'église Pauli à Hambourg a été fréquentée. Il dispose d'un titre de séjour temporaire qui est constamment renouvelé. Il vit dans un refuge de réfugiés lorsqu'il commet le crime.

Mourtala rencontre Sandra, les deux ont une fille.

Le 11 avril 2018, Mourtala sera privé de sa garde, probablement non sans raison. Il aurait perdu son droit de séjour. Le lendemain, Mourtala poignarde son ex-petite amie et la mère de son enfant à la Jungfernstieg S-Bahn Station à Hambourg. Il coupe la tête de sa fille d'un an. On peut l'associer à Boko Haram, qui est actif au Niger et qui, entre autres, chasse les chrétiens et les incroyants.

La fille meurt sur place, la mère à l'hôpital. Le tueur essaie de s'échapper. Lorsqu'il s'aperçoit qu'il est poursuivi, il appelle lui-même la police et est arrêté. Plus tard, les officiers trouvent l'arme dans une poubelle.

Les 4 autres enfants de la femme vont à la garderie. Il n'est pas clair s'ils sont toujours en possession d'autres permis de séjour.

Later sera connu: L'auteur Mourtala renvoie à des vidéos du prédicateur de l'islam Pierre Vogel sur Facebook. On dit que depuis son arrivée en Allemagne, il a été converti à l'islam.

La nouvelle petite amie de Sandra était aussi présente sur les lieux du crime. Il a aussi poussé une poussette avec un enfant, mais il n'est pas le père de l'enfant. Le père de cet enfant est originaire du Ghana. Mais ce nouvel ami s'est enfui pendant l'action (sans landau). Il n'a probablement pas de permis de séjour.

Aussi présent au crime était un Ghanéen qui n'était pas impliqué, à savoir Daniel. Avec son téléphone portable, il filme la plate-forme pendant environ 2 minutes. Il met la vidéo du téléphone portable sur Facebook. Le blogueur Heinrich Kordewiner met la vidéo de Facebook sur Youtube. En échange, la police et le ministère public leur rendent visite tôt le matin. Il est possible que la voix des Ghanéens puisse être entendue sur la vidéo. Il dit que la tête du bébé a été coupée ("Ils ont coupé la tête du bébé").

Le 25 avril nous lions cette page d'archives le matin à la vidéo Youtube (voir ci-dessous). La vidéo sera bloquée dans l'après-midi,

Bien que ni l'enfant sans tête ni la mère ne puissent être vus sur la vidéo, celle-ci reste verrouillée. Le Hamburger Morgenpost publie un article qui a aidé une foule de droite sur Internet (ce qui n'est cependant pas le cas). Les rédacteurs en chef eux-mêmes - par respect pour le bébé victime - se sont abstenus d'écrire sur la décapitation. Les lecteurs se demandent pourquoi les rédacteurs en chef n'avaient apparemment aucune raison d'ouvrir la page de titre avec le mort Alan Kurdi, un réfugié de deux ans qui gisait mort sur la plage de la mer Méditerranée. D'autres commentateurs, qui n'ont manifestement pas vu la vidéo, demandent une lourde punition pour le blogueur qui a posté la vidéo sur Youtube.

Deux semaines après le crime, une recherche publique est effectuée à la recherche du "nouvel ami", le principal témoin de ce crime. Il se présente ensuite à la police. Son nom est Mousa, appelé Moïse, est âgé de 33 ans, vient du Ghana et est illégal en Allemagne.

Poursuite: Le procureur dit que la jeune fille n'a pas été décapitée. Il affirme: "Objectivement, ce n'était pas le cas. Il n'est pas tout à fait clair s'il s'agissait simplement d'un quasi-détachement, d'une sorte de massacre, d'une violence au couteau contre le cou ou autre chose. On sait que l'agresseur avait déjà été envoyé en formation anti-agression par le tribunal de la famille. Il n'est pas clair s'il y a participé ou non.

Le procès commence en octobre au tribunal régional de Hambourg.